QUI DELIVRERA LE PAYS EN 2012 ?
Le président de la Ve République, depuis déjà deux années, est à la tête de tous les pouvoirs, a tranformé la France.
Son gouvernement, alléguant la défaite de notre société, s'est mis en rapport avec l'ennemi néo-libéral pour cesser le combat.
Certes, nous avons été, nous sommes, submergés par la mondialisation, la finance spéculative internationnalisée, de l'ennemi.
Infiniment plus que leur nombre, ce sont les Bourses, les banques, la soi-disant science des "économistes"qui nous font reculer. Ce sont la monnaie unique, les Etats endoctrinés, la pensée unique et l'individualisme qui ont surpris nos Institutions au point de les amener là où elles en sont aujourd'hui.
Mais le dernier mot est-il dit ? L'espérance doit-elle disparaître ? La défaite est-elle définitive ? Non !
Croyez-moi, moi qui vous parle en connaissance de cause et vous dis que rien n'est perdu pour la France. Quand la coupe est pleine il faut qu'elle se vide !
Car la France n'est pas seule ! Elle n'est pas seule ! Elle n'est pas seule ! Elle a l'humanité avec elle. Elle peut faire bloc avec l'Empire des hommes qui tient la vie et continue la lutte. Elle peut, comme à travers les âges, utiliser sans limites l'immense industrie des esprits, de l'âme humaine, sa résistance.
Cette guerre n'est pas limitée au territoire malheureux de notre pays. Cette guerre n'est pas tranchée par la bataille de France. Cette guerre est une guerre mondiale. Toutes les fautes, tous les retards, toutes les souffrances, n'empêchent pas qu'il y a, dans l'univers, tous les moyens nécessaires pour écraser un jour nos ennemis. Foudroyés aujourd'hui par la force du mépris, nous pourrons vaincre dans l'avenir par une force vertueuse supérieure. Le destin du monde est là.
Moi, raison, toujours dans la lumière, j'invite les braves et les misérables français qui se trouvent en territoire ennemi ou qui viendraient à s'y trouver, avec leur âmes et leur conviction, j'invite les intellectuels et les travailleurs qui se trouvent encore en territoire neutre ou qui viendraient à s'y trouver, à se mettre en rapport avec moi.
Quoi qu'il arrive, la flamme de la résistance française ne doit pas s'éteindre et ne s'éteindra pas.
Demain, comme aujourd'hui, j'écrirai sur "overblog."