le prix qu'il faut payer, votre âme, "ne l'achetez pas"...sans le savoir !
l'après guerre oubliée...la gaîtée, les truands, l'argot retrouvés.
Rien ne sert de pleurer...rire aux éclats, "pensez-dont !"...oublier....
" Les cons ça osent tout...et c'est même à ça qu'on les reconnait !"
"J'vous préviens qu'on a la puisssance de feu d'un croiseur
et des flingues de concours..."
silence maintenant...ça tourne !
"Allons vite messieurs, quelqu'un pourrait venir, on pourrait s'méprendre et on jaserait..."
"Au fond maintenant..les diplomates prendraient plutôt'l'pas sur les hommes d'action...L'époque s'rait aux tables rondes et à la détente..."
"ça, le fait est...seulement le tout venant a été piraté...qu'est-ce qu'on fait...ons'risque sur le bizarre ?...nous voilà sauvé....sauvé, faut voire !"
"Y date du Méxicain, du temps des grandes heures...seulement on a dû arrêter la fabrication....y a des clients qui d'venaient aveugle ; alors ça faisait des histoires..."
"Faut'reconnaître, c'est du brutal..."
"J'ai connu une polonaise qu'en prenait au p'ti déjeuner...faut quand même admettre qu'c'est plutôt une boisson d'hommes..."
Cette fois, aucune présentation, de fait, cette oeuvre, est hors du temps...
non dans la prose, mais bien dans au septième ciel, pour l'amour de l'Art, il vous faudra céder !
De 7.6.5..................................Besson, cette année là, fidèle...
au cinquième élément.....l'artiste se déchaîne !
En suivant ceci, tout aussi exaltant
de Spielberg ici, un regard d'enfant
Pour le plus grand plaisir maintenant...toujours des sentiments
si nous tournons les yeux, et regardons le ciel
les cieux sont éternels, l'âme d'un seul en vaut cent
ne pas craindre les ans,
l'on peut être gentleman et amant
et observer des brigands,
on le sait, ils traversent le temps
rien n'oblige personne d'approuver pour autant
écouter cela vibre, rire gaiement
allez-y maestro, en avant !
y'a Frodon Saquet, vous savez...l'hobbit fatigué !
Tout ça fait beaucoup de "é"...ça va pal'fer...
pourquoi tergiverse"r"?
Y'a ka suivre "gollum" ...et partir vers l'enfer, ça rappellera l'été !