L’écrivain public ne peut être digne d’exercer
que s’il :
prend la responsabilité de tous ses écrits, cela, qu’ils s’agissent d’actes signés ou anonymes,
tient la calomnie, quelques accusations que ce soient, l’altération de documents, la déformation de faits, ou le mensonge, pour les plus graves fautes professionnelles ;
n’accepte que des missions compatibles avec la probité et la dignité professionnelle ;
ne commet aucun plagiat, cite les confrères dont il reproduirait quelconques écrits ;
garde le secret professionnel et reste discret dans l’exercice de sa profession ;
tient le scrupule et le souci de la justice pour des règles premières ;
ne confond pas son rôle avec tout autre, en dépassant ses prérogatives, et reste fidèle à la présente charte.
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