...certes, mais seulement un animal, avec tout ce que cela peut impliquer !
Le "bien" en constante opposition au "mal" ne sont que des perceptions sensorielles lui permettant d'évoluer dans son environnement. Lui permettant de laisser libre court à son "libre arbitre" tout comme le ferait un autre vivant, et pour qui, à titre d'exemple avec la sensation de danger, lui permettrait de réagir comme inconsciemment et par un sixième sens.
Tout comme tout autre animal le faisait, le fait et le fera, (à la condition cependant que ll'homme le lui permette encore demain) l'homme vit, meurt, mange, ou est mangé, est rassasié ou affamé, est en bonne santé ou malade, se déplace ou se sédentarise, s'accouple et procrée, reste parmi les siens ou tente des unions, conquiert de nouveaux territoire, dirrige ou est dirigé, mort, grogne, tue, convoite ce qui n'est pas à lui, se mesure à son égal, prend la place du chef ou est chassé du groupe, cherche quelque chose, essaie, trouve parfois, erre, apprend, n'apprend pas, retiens, ne retiens pas, aime, déteste, rie, pleure, quelque fois fait semblant, souvent se ment à lui même, se connaît ou s'ignore,...et j'en passe.
La dualité est en effet une constance du règne animal. Elle permet ce que la mythologie nous enseignât, ce que l'ethnologie nous confirme, l'équilibre dans le chaos.
Tout se résume dans cette dernière phrase.
Que l'équilibre ne se trouve que dans le chaos.
Qu'il faut donc une situation chaotique, une révolution en quelque sorte pour que s'en suive l'évolution...
Dans cet environnement, l'équilibre se fait différence d'avec le néant.
Mais voilà, il tient aussi au fait qu'il puisse s'installer, non durablement, ce serait , non un paradoxe parce qu'il y en a aussi, mais pure utopie, antinomie, juste sporadiquement mais de telle façon que cet état puisse permettre une durée suffisamment importante à la régénération du système. Dès lors que la régulation le permet, l'équilibre se dégrade de nouveau et le cycle de la vie reprend ses droits, pour aboutir sur la mort. La boucle est bouclée !
La mort n'étant que l'aboutissement de l'évolution, juste la fin d'un cycle en l'occurrence. C'est ma philosophie de vie. Aucune crainte donc quant à son issue, aucune confession sinon celle là.
Une règle, trois objectifs : profiter de la vie, apprendre à se préserver de tout incident pouvant venir contrarier l'issue, aider toute personne qui le demande dans la limite du second !
merci la vie.