-"Mais alors me direz-vous : "Qu'est-ce que tu fais Amexour ?"
Et de citer alors le philosophe Charles Taylor me permettant de souligner que c'est juste une question de choix : "Toutes les options se valent, puisqu’elles se font librement et que c’est le choix qui leur confère à lui seul une valeur.»
Mais bon, rien de quoi aller crier sur la place publique, tout nu un lendemain enneigé non plus avec lui...
Ou Socrate encore : " Le mal vient de ce que l'homme se trompe au sujet du bien"
En venant ici vous faire part de mes réflexions, je les rends donc publiques par ces écrits, en acceptant de fait de laisser toute liberté aux commentaires quels qu'ils soient. Aucune censure. La publicité n'est autre qu'un concept selon lequel l'on rend une chose publique. Ce qui en rien ne permet de définir quelque caractère disons obligatoire, de souscription à cette diffusion ou même d'adhésion au but recherché par l'annonceur lui-même.
Et d'en conclure ici, que cela va me permettre donc d'en saisir matière à réflexion me servant des concepts publicitaires eux-mêmes, souvent forts de sens de par les messages qui y sont véhiculés, inconscients ou conscients...
Je reviendrai donc de temps à autre vous en faire l'écho.
A ce premier exemple de spot télé, de répondre par la réflexion suivante :
Effectivement, on reconnaît bien tout de suite là "un conseiller immobilier..." et de cette "trempe" d'homme, qui ne daigne pas même répondre à ces deux jeunes qui lui demandent leur route, bien trop préoccupé dans sa bulle... En somme un des nombreux exemples de ce que peut véhiculer la publicité en dehors de la simple volonté mercantile.
Etonnant non !
(*) Le Malaise de la modernité (Grandeur et misère de la modernité), Paris, Le Cerf.
(1) Claude Cossette, professeur titulaire