La pub : 1re violence symbolique à l'égard de la femme
Antipublicitésexiste et perdure...
L'anamnèse est claire, le féminisme s'est arrêté d'en parler, il s'est rangé à "l'évidence" : contre toutes les différences de sexe, d'orientation, de capacité, de qualité, de nombre, d'esprit ou de physique..., le système est le plus fort.
Les femmes fortes sont aujourd'hui dominantes à leur tour et se sont ravisées pour ne plus voir le mâle dominant comme une erreur mais plus comme simple partenaire de l'oeuvre de domination. Argent, esprit, naissance, connaissance, art, travail, politique, physique, tout est bon pour dominer...
Pour formater, il faut diviser, c'est aujourd'hui automatisé !
Madame Weil a bien gagné certes d'être assise dans sa chaise au porteur, cela même si les vrais gagnants sont eux restés dans les camps. L'épée numérotée à la main, estampillée au panthéon des immortels, elle est aussi aujourd'hui bien enfermée dans le mutisme du format Institutionnalisé. L'on ne mort pas la main qui vous nourrie. Il faut donc trouver de nouveaux porteurs de l'indignation, dénonciateurs de dualités illégitimes, de nouveaux simples résistants sans nom, sans numéro, qui, en résistance à l'évidence, à l'établissement institutionnalisé, désintéressés, relèvent le flambeau de l'insoumission. Non à la pub misogyne-dominante !
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